lundi 22 mai 2023

 ASE et juge ont interdit aux parents de voir Julien 5 ans, durant 5 ans donc aucun droit de visite.

donc Les parents n'ont vu julien qu'à sa naissance !!!!!!!.

depuis 2022, l'ASE et juge veulent déclarer délaisser Julien parce que les parents n'ont pas vu Julien durant ces 5 ans  !!!!!!!!!.

Bienvenue chez les fous. 


Venez soutenir Julien qui n'a vu ses parents que    2 minutes à sa naissance, 

Imaginez une seconde leurs souffrances parents et enfants :

Venez soutenir aussi les parents par votre présence à la manifestation 

du jeudi 25 mai 23 à Colmar 

9h - 12h  Tribunal judiciaire bvd du Champs de mars de Colmar

13h - 18h Rond Point statue de la liberté Colmar 


seule photo de Julien que les parents possèdent : 


les ase ont toujours refusé de donner des photos de Julien !


Merci de faire circuler sur les réseaux sociaux .

Mr Frédéric Bierry, président d' Alsace Collectivité Européenne 
a été informé par AR reçu le 28 Avril 23

voici le courrier :       ici en PDF : ici

Hélène lombard

06 44 09 18 42 

rendeznousnosenfants.org

445 rue de Bordeaux

16000 Angoulême

Au

Président d' Alsace Collectivité Européenne

Mr Frédéric Bierry

Hôtel du département

Place du quartier Blanc

67964 Strasbourg cedex 9

AR : 1A 189 263 5624  RECU LE 28/04/23

Lettre ouverte

02/04/23


Monsieur le président d' Alsace collectivité européenne,


Je me dois de vous prévenir que des criminels au sein du département, dans le service ASE, veulent en votre nom, faire déclarer délaisser un enfant de 5 ans, Julien, volé à ses parents dés sa naissance, SANS motif, sans le moindre suivi social en 5 ans, sans aucun RV social en 5 ans, sans communication d'information aux parents en 5 ans, sans AUCUNE visite parent/enfant organisée en 5 ans, et avouant n'avoir pu faire AUCUNE enquête pour légitimer, ou démontrer la nécessité de le voler à ses parents . !!! (voir copie jointe)


Donc prendre un enfant sans motif à ses parents, en violation de tout le droit français, c'est voler un enfant pour ce qu'il est, ce que firent les nazis. Confirmé d'ailleurs par le juge pour enfant Laurence Begon : 

« le but du placement n'est pas un retour en famille, ni de protéger d'un danger, mais de donner à l'enfant une nouvelle chance relationnelle « . Savez de quoi parle cette « juge » ? car cela n'est soutenu par aucun texte.

En effet, dans la demande de délaissement, envoyée au JAF de Colmar, le 27 février 2023, il est noté ceci :


  • « les parents ne maintiennent pas de liens …. » :

    p2, alinéa 2, « couple parental adoptant une conduite d'opposition et ne maintenant pas les liens avec leurs précédents enfants placés. » (à partir de juillet 2016 les droits de visite ont été coupés à la demande de l' ASE, par le juge, sans raison, par refus de l' ASE d'adapter les visites selon le handicap du père). Discrimination à l’handicape, en plus.

    OR alinéa 5, de la même page, il est avoué qu'à la demande de l'ASE, le juge a «réservé les droits des parents » ce qui signifie que le juge a interdit tout droit de visite aux parents.

    DANS ce cas, comment aller à des RV sociaux qui n'existent pas ? et des visites parent/enfant qui sont interdites ?

    Je vous remercie de bien vouloir répondre à cette énigme.


Et comment oser le leur reprocher ?

    N'oublions pas que NUL ne peut alléguer de sa propre turpitude.

    Mais les sociaux de l' ASE aime le faire , en page 2, alinéa 7 « le 29 mars 2021, un jugement renouvelle le placement pour une durée de trois ans. Les droits des parents sont réservés, du fait de leur désinvestissement massif. » ENCORE . Parce qu'on vous prive de voir vos enfants, on vous le reproche, et sur ce, on continue à vous empêcher de les voir. !!!!!!!!! quel crime ont ils commis, si ce n'est que d'avoir eu des enfants ?

    TROUVEZ vous cela normal venant de fonctionnaires territoriaux , Mr le président ?

    Ce sont vos fonctionnaires qui agissent au détriment des intérêts fondamentaux des enfants, et non le fait d'avoir des enfants !.


Aux appels téléphoniques, aux courriers faits par les parents, démontrant leur exercice de leurs droits parentaux (p2, alinéa 8), et ce pendant des années, les sociaux répondent par des refus de donner toutes informations précises, significatives permettant le maintient d'un minimum de lien, restant dans le « ça va bien », refusant toutes photos, toutes informations sur la scolarité, le médical, la conséquence de privation d'amour parental qui pour eux semble normal, RIEN, toute autorisation étant signée d'office par les sociaux de l' ASE. Les foyers détenant les enfants considèrent même que les enfants leurs appartenaient bien avant l'arrêt des visites, niant l'autorité parentale !. Donc tous les actes volontaires des parents ont été annihilés, entravés, empêchés.


Je me permets de vous le signaler qu'en vertu de l'article 381-1 et 381-2 CC, lors d'une demande de délaissement la condition est « les parents ne doivent pas avoir été empêché » . Ce qui est le cas.


Il me semble inutile de préciser que les actes judiciaires, les appels judiciaires, les inscriptions de faux, les manifestations, les tracts, les dénonciations publiques, les vidéos, les plaintes faites par les parents démontrent qu'ils NE VEULENT PAS voir leurs enfants déclarés délaisser, et les réclament depuis des années.

Or le délaissement doit être la résultante d'actes de négligence volontaire et d'un désintérêt répétés. Ce qui n'est pas le cas, non plus.


Leurs enfants leurs ont été pris parce qu'ils sont en résistance à l'oppression face aux sociaux de l' ASE, vos employés . Or c'est un Droit constitutionnel inattaquable !


Les soldats de la 2 ième DB doivent se retourner dans leurs tombes .


Même les nazis ne reprochaient pas à leurs victimes d'être en opposition avec eux. L' ASE si !


De plus, la loi ordonne en son article 381-2 CC que des mesures appropriées de soutien aux parents doivent avoir été proposées avant de lancer une telle procédure. OR bien au contraire, alors que le père, ancien fonctionnaire de communauté de commune, ayant eu un accident du travail, le rendant handicapé, sans voiture, ni possibilité de déplacement, les sociaux ont refusé d'organiser les visites dans le lieu de rencontre parents/enfant se trouvant à 600 mètres de leur domicile, à ST LOUIS. ! Préfèrant Mulhouse ! acte encore contraire à la loi française. Il s'agit d'une non prise en compte du handicap du père, non établissement de calendrier, les sociaux ont rompu tout contact avec les parents depuis juillet 2016, aucun suivi social.


  • Capacité parentale reconnue :

    Père :

    p1 « Mr Meyer est père de trois autres enfants issus de son union avec sa première femme et n'a jamais collaboré avec les services sociaux lorsqu'il les avait à sa charge. » ce qui lui a permis de les élever SANS PROBLEME et SANS ASE. Toute cette affaire sur les 5 enfants suivant serait elle une vengeance ? Une persécution ? Pour avoir résisté pour les premiers enfants ?

    Dans les rapports, le père est accusé d'être « procédurier et revendicateur ». nul ne peut nous reprocher l'exercice d'un droit.

Mère :

p1, Rose et Crystale ont été suivie jusqu'au 3 ans de Crystale, rapport ASE favorable à la mère, qui écrit « qu'elle s'en occupe bien de ses filles ».

p2 alinéa 3 lig 6 : les prétendus « pathologie médicale » p2 al 2 (réalité : épileptique), les prétendues « limites et dénuements de la mère » p2 al 3, permettent au juge de constater une « absence d'éléments d'inquiétude » (Julien) alors pourquoi avoir volé Julien ?


P2 alinéa 3 ligne 5 : »le magistrat remarque la capacité de Mme à écouter les conseils des professionnels. », alors pourquoi avoir volé Julien ?

P2 alinéa 9 : « il n'a pas été possible d'évaluer leurs positionnement et qualités parentales que ce soit pendant la grossesse ou postérieurement. » alors COMMENT pouvoir prendre un enfant sans avoir fait d'enquête !

Les premiers enfants de Mr Meyer n'ont pas été suivi parce qu'il s'en occupait bien. SANS ASE tout c'est très bien passé. Il a démontré ses capacités de père. Pourquoi ne pas avoir fait la même chose pour les enfants suivants ?

Avoir des enfants est il un délit, Mr le président ?

Accusation réelle :

p2 alinéa 3 ligne 9 « son refus catégorique d'être accompagné dans la prise en charge de Julien au quotidien à partir de leur domicile ».

Parce que des citoyens refusent d'être complice du TRAVAIL FICTIF, (MJIE, expertise psy 600 € l'une, non utile) on leurs prend leurs enfants !

Êtes vous d'accord avec de tel comportement , Mr le président ?


- les contradictions : sans compter les faux par omission.

les parents refusent tout encadrement ce qui leur est reproché, mais les sociaux écrivent p2 al 3 ligne 7 : « (la mère)celle ci était encadrée et soutenue dans la relation et le quotidien de son nourrisson », julien né le 11 sept a été arraché à sa mère le 14 septembre, soit 3 jours après ! 3 jours de peur à l'idée qu'il sera volé comme les 4 autres précédant ! Et encadré, la juge dit « absence d'éléments d'inquiétude » alors pourquoi avoir ordonné le rapt de Julien ? Rapt puisqu'ils n'ont jamais revu Julien ? !


- la mère , selon l'intérêt de l'auteur Djémaa BOLOGNESE , qui n'a JAMAIS rencontré ni les enfants, ni les parents, est tour à tour, soit dans une « pathologie médicale » p2 al 2 (réalité : épileptique), soit dans des prétendues « limites et dénuements de la mère » p2 al 3, tous étant des termes génériques illégaux en droit français , puis dans la capacité à « écouter les conseils des professionnels » donc pas si malade que cela, pour ensuite constituer une « absence d'éléments d'inquiétude » en ayant été déclaré dés le début « s'occupant bien de ses 2 premières filles »  alors qu'elle était seule à le faire. Donc au début comme pour Julien il y a une « absence d'éléments d'inquiétude ». ALORS pourquoi avoir volé Julien ? .

  • En page 1, il est fait mention que les 4 premiers enfants ont été volé, eux aussi, et déjà sans MOTIF autre que l'opposition parentale, l'auteur de ce document indique en sous entendu qu'il a donc été logique de prendre JULIEN, pour en page 2 , alinéa 6 le déclarer aussi délaisser toujours sans le moindre motif , juste parce que cela a été fait aux autres ! Tous ces enfants ont été volé sans la moindre enquête, sans le moindre motif, mais avec un niveau de discrimination anti française, anti handicapé, anti catholique totalement inconcevable et inacceptable d'une administration territoriale française. « On l'a pris parce que les autres l'ont été !!!!!!! » quel niveau de bêtise !!!!!


L' absence de moralité est le pire de tous les handicaps. Il serait temps d'agir contre.


La disproportion entre l'absence d'accusation contre les parents qui démontre l'absence de danger, l'absence de motif de placement, l'absence de légalité, l'absence de légitimité de vos ASE, l'importance et le nombre de contradiction et des violations des lois françaises et le RAPT criminel AVOUé des 5 enfants dont Julien, et la tentative de le vouloir déclarer délaissé est une atteinte outrancière aux valeurs de la France, et établit très clairement le comportement des des sociaux de votre département comme étant celui de criminel.


Entre nazisme et démocratie, duquel vos sociaux sont ils le plus proche ?


A ce dossier criminel, ignoble et honteux, s'ajoute les multiples vices de forme (date, convocation, audience, audience cour d'appel non respectées pour toutes les procédures sur les 5 enfants) qui les rendent nulles et non avenues.


Vous n'êtes pas sans savoir que depuis des années, les adoptions sont nationales, que 60 % des enfants adoptés en France, adoptions gérées par un de vos services, proviennent des vols d'enfants effectués par un autre de vos services l' ASE. C'est très pratique, n'est ce pas ? !. Et qu'un certain nombre de familles d'accueil sont en réalité des adoptants ayant échoués à l'adoption. Que dés lors, tout délaissement et tout placement en famille d'accueil VISENT en réalité à cacher des quasi adoptions dans laquelle la suspension de l'autorité parentale donne tous les droits sur l'enfant à cette famille devenue encore plus criminelle que les autres en ayant acceptés un tel accord. Cela leur permet d'assouvir leurs désirs de pouponner jusqu'au 18 ans de l'enfant, ou il est jeté à la rue, après avoir servi à leurs volontés et avoir détruit tout lien avec sa seule et véritable famille. Encore un acte illégal au regard du droit français.


Entre nous, comment le département a t il pu en arriver jusqu'à là ?


Un juge NON soumis aux chantages, aux menaces, aux trafics d'être humain en tout genre, et aux réseaux pédocriminels PEUT seul refuser un tel dossier.


Ou plutôt seule une organisation criminelle, comme les réseaux pédocriminels peuvent s'autoriser à monter de tels dossiers et à les trouver normaux. Acceptez vous d'en être ? Et de valider leurs actes ?


Puisque se sont les subventions qui vous intéressent, gardez l'argent, mais placez les enfants au domicile de leurs parents ? Ne pensez vous pas que cette option serait utile au département ?


Restant à votre disposition, veuillez agréer, Monsieur le président d' Alsace communauté européenne, mes salutations distinguées.

Hélène lombard 

rendeznousnosenfants.org 




ICI la demande IGNOBLE  de déclaration de délaissement  à LIRE 

de   Djémaa  BOLOGNESE   de  ASE  Unité Inspecteur Colmar 100 avenue d' Alsace à  Colmar
















Vous constatez les CONTRADICTOINS    DEMENTIELLES  
 DE CETTE 
     professionnelle de l'enfance !








Acceptez - vous de payer des impôts 

pour de telles HORREURS ? 

NON



manifestation devant le TGI de Mulhouse 







juge pour enfant Laurence Begon

"l'objectif du placement n'est pas un retour en famille. "

" le placement n'est pas une mise à l'abri d'un danger "

" le placement est de donner à l'enfant une nouvelle chance relationnelle"

NUL part en droit il est écrit cela
Bienvenue chez les malades mentaux





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